Elmore James

Comment se procurer tous les enregistrements d' aout 1951 à février 1963 d' Elmore James en CD, rien de plus simple:

2 coffrets en premier:

"EJ, King of the slide guitar, The complete Chess, Chief & Fire sessions", Charly CD RED BOX 4, de 1992, (4 CD);

"EJ and his Broomdusters, The classic early recordings 1951- 1956", Ace ABOXCD 4, de 1993 (3 CD).

Encore faut- il les trouver...mais il y a d' autres solutions, en pièces détachées...

Il n'y a plus d' inédits trouvés depuis ces dates de publications, comme le croyait un amateur encore en 2009!

Si l 'on consulte le livre de Robert Ford ( A Blues bibliography, Paul Peletier éditeur, 1999, pour le premier tirage), répertoriant les articles papiers consacrés depuis des lustres aux artistes de Blues, revues, livres...actuellement, c'est plus de 100 sujets à son actif.

C'est beaucoup pour un artiste qui eu finalement une assez courte carrière discographique, dont les détails sont connus à 99, 99% maintenant...et reproduite en totalité depuis le début des années 90.

Une documentation française assez prolifique est parue, dont le numéro 94 de la revue "Soul Bag" de 1993(en fait 1983...), qui lui était consacré, avec en avant première des photogtaphies en couleur et inédites de Jacques Demetre, en plus d' un trexte très fouillé d' Alan Balfour, et discographie complète à pour l' époque de Christian Besnier, accompagnée de celle de J. T. Brown, le saxophoniste, de Daniel Groslier...et du pianiste Little Johnny Jones, provenant de la défunte revue "Pickin' the Blues".

On trouve encore ce numéro à vendre, assez facilement, sur internet.

Se basant sur nombres d' interviews et articles de presse, et livres, Steve Franz écrivit le chemin parcourut par Elmore James, en tenant compte des dires de nombreuses personnes qui le connurent, organisateurs, accompagnateurs musicaux, et son "cousin", Homesick James Williamson.

Annoté copieusement, y figure photographies avec sources nommées , dont une inédite, et bien sur la discographie complète d' Elmore James, remise à jour, par rapport à celle publiée dans Soul Bag, sans grande différence, avec les nouvelles rééditions.

"The amazing secret history of Elmore James, de Steve Franz, Bluesource Publications, 1994.

Ce livre mériterait d' être traduit en français...

Quand sur un nouveau CD est publiée une photographie inconnue d'un artiste très connu, le disque risque d'être vendu plus que d'habitude...

C'est certainement le cas de ce CD, ensemble de 3 disques contenant l'intégralité des faces "Fire" du producteur noir Bobby Robinson, derniers enregistrements d' Elmore James, avant son décès en 1963.

Cette photographie, en compagnie d' Odie Payne à la batterie, Boyd Atkins, saxophoniste ténor, et du pianiste Little Johnny Jones, accompagnateur fidèle, doit dater de la fin de 1953, à l'époque des enregistrements "Chess", restée inédite, produite par l'intermédiaire du vieil amateur de Jazz et Blues, Norbert Hess.

Reprises dans le coffret Charly de 4 CD, mais épuisé depuis belle lurette, l'ensemble de ces faces ont été rééditées dans un coffret de 3 CD par plusieurs éditeurs, mais sans les titres "Chess".

Le CD contenant la photographie d' Elmore James en deux grandeurs:

"Elmore James, Dust my broom", Relic CD 7040 de 1992.

Petite rectification...

Les premiers enregistrements "Chess" datant de 1952, la présence du saxophoniste Boyd Atkins étant située sur les faces enregistrées par les frère Bihari, à partir de septembre 1953...donc la photographie provient certainement de cette période, tous les amateurs auront rectifié...  

La guitare employée par Elmore James sur ce document est une "Kay" K 150, ressemblant à la "Gibson" de la même référence, bien moins chère, qui était aussi utilisée par Brownie Mc Ghee, le compère de Sonny Terry...

Une réédition bizarre en album...pas toute jeune, comprenant une face d'Elmore James, la seconde de Walter Horton, sans qu'aucun des deux artistes n'aient joué ensemble...

Ces titres provenant du catalogue "Modern, RPM, Flair", Mike Leadbetter, disparu il y a bien longtemps, présentait ces deux artistes sur une compilation anglaise...la production de Walter Horton étant issue directement de 78 tours, les craquements en plus...pour le plaisir des amateurs:

"Cotton patch hotfoots, Elmore James, Walter "Mumbles" Horton, Collection "Juke Blues 10", Polydor 2383 200 de 1970, 1973, texte de Mike Leadbetter.

Dans le livre de Robert Ford référençant les articles et biographies, le personnage d'Elmore James est dans les records de citations....

Recherches, interviews, discographies, tant de caisses de vieux débris ont été fouillées, bandes écoutées, en plus, un excellant livre est parus sur ce bluesmens...

Comment un soit- disant "Spécialiste de l'histoire du Blues" peut- il nous faire croire que toutes les pistes possibles SUR le terrain n'ont pas été sollicitées et inspectées...?

Qu'Elmore James ai joué sans amplification chez lui, pas de problème, mais sans aller sur le terrain, interviewer les morts, aller aux carrefours de rues pour vendre quoi, ou des idioties pareilles, sans aucun débuts de renseignements sur des "enregistrements" acoustiques inédits, c'est vraiment de la rigolade éternelle pour nous, "vieux hommes" amateurs de Blues...!

Allez, renseignes nous sur l'avancée de tes recherches depuis 2009, pour que l'on ne meurent pas d'apoplexie de fou rire...!

En regardant et examinant avec loupe les photographies connues actuellement d'Elmore James ou il figure avec une guitare, toutes SONT amplifiées, que ce soit celle reproduite sur le CD "Relic 7040", celles en provenance de Jacques Demêtre, Georges Adins ou de livre, y comprises l'exemplaire datant d'avant guerre soit disant...

Ces instruments sont soit de provenance "Kay" ou "Silverstone", "solid boby" ou acoustiques, ou l'on voie toujours pour ces dernières la présence un système d'amplification...branché.

Il existe peut- être d'autres documents, mais ils sortiront, cela fera dans le petit monde du Blues et de ses amateurs...

Un des albums d'Elmore James le plus recherché sur le marché, fut longtemps la production de la marque "Blue Horizon", une double compilation des productions de Bobby Robinson.

Produit par l'un des créateur de la revue anglaise "Blues Unlimited", aujourd'hui disparue, Mike Leabetter, décédé aussi, fit un superbe cadeau aux amateurs des années 60, introduisant un certain nombre de titres inédits pour l'époque.

La dernière parution de ce double album contient une simple pochette contenant les deux disques, les deux pochettes entourant les vinyles reproduisent le texte copieux sans la signature de l'auteur, qui est bien évidemment Mike Leadbetter:

"Elmore James, To know a man", Line/ OutLine DLDLP 8018 de 1983.

Pour les amateurs de vinyles en manque, rien de mieux que de se passer un album original...quoi que celui- ci soit ressorti au Japon ou autres pays, à un prix luxueusement cher!

Dans la "vintage series" des rééditions du catalogue des frères Chess, à part une ou deux prises inédites, l'album contient tous les enregistrements d'Elmore James sous son nom.

Ce disque reprend pratiquement tous les titres parus sur un tirage d'un label anglais, "Blue Horizon" qui était édité sous la responsabilité d'un amateur disparu et fondateur du magazine "Blues Unlimites", Mike Leadbetter.

Le contenu de cet album, était complété par des morceaux de John Brim de cette production:

"Elmore James, John Brim, Whose muddy shoes", Chess 1537 non daté, note de deux auteurs nommés, avec renseignements discographiques.

Le groupe "Capricorn", qui édita voici quelques années des coffrets en double CD des labels, dont certains sur le Blues, en produisit un sur Elmore James.

Toutes les faces présentes proviennent des productions de Bobby Robinson, donc du catalogue "Fire/ Fury" et autres, derniers enregistrements datant du début des années 60, effectués à la New Orleans et New York.

Tous doublonnent avec le coffret "Charly" et bien d'autres publications:

"Elmore James, King of the slide guitar", Capricorn 42006 de 1992, note de Chris Morris, avec discographie.

Pour les amateurs qui ne connaitraient pas encore Elmore James, la marque anglaise "Acrobat' vient de produire un double CD de l'intégrale des singles parus sur tous les labels, sous la référence "3143".

Sans doute à prix très doux...

Au temps des gros travaux du magasin Gibert jeune, sur la place, et l'abandon des vinyles...la solde battait son plein!

Toute la série des albums américains à petits prix "United" et la française "Musidisc" pirate, s'arrachaient par vils prix...

Parmi mes premiers achats d'Elmore James, il y avait "The resurrection of RJ", provenant du catalogue des frères Bihari, enregistré un peu partout, avec les deux parties de l'instrumental "Hawaiian Boogie" entre autres, sur les douze titres.

Le pressage français était d'aussi bonne qualité que l'américain économique, qui supplantaient, et de loin, certains pressages originaux de la marque "Crown", sans doute pressés dans de la mauvaise gomme!

"Anthology of the Blues, The resurrection of Elmore James", Musidisc 30 AB 5610, courant 60/ 70, note de Michael Bromberg.

Pendant les congés, faut bien rigoler un peu...

Si l'on avait attendu les révélations du "spécialiste de l'histoire du Blues", il y a belle lurette qu'on serait mort de rire en lisant le résultat de ses recherches sur Elmore James!

Jacques Barsamian de la revue "Folk & Rock"...signa une note au verso d'une réédition en vinyle de cet artiste, reprenant du matériel provenant des productions des frères Bihari, donc doublonnant complètement avec les albums sorties à l'époque...

Ces propos semblent bien rococo maintenant, pour une revue se disant à la pointe de cette époque, comme en 2009, avec les espérances de découvertes enfouies dans de vieux débris...

La réalisation de cet album était confiée à Jean Luc Young, ce disque comportant sur son verso une photographie de Jacques Demêtre datant de 1959 prise lors de son séjour à Chicago, non créditée, sur fond vert...

Même les droits d'auteurs étaient déjà oubliés à cette époque...

"The Blues in my heart, The rhythm in my soul, Elmore James", Byg 529 004 non datée, note de Jacques Barsamian.

C'est assez astreignant de faire une discographie quand la parution d'un numéro doit sortir sur un artiste défini, comme celui consacré à Elmore James datant de 1983 et non 1993..., produit par le magazine français "Soul Bag".

Rechercher toutes les parutions en albums produits, les écouter, comparer les versions avec les prises originales, çà demande un certain temps et de bonnes oreilles, surtout sur les derniers enregistrements effectués par Bobby Robinson à New York entre autres...

Un double album américain fut en vente à petit prix, puis soldé, reproduisant cette période ou participa son cousin Homesick James.

Que des doublons contenus, vingt titres, les éditions "Trip" étant économiques, la présentation est plutôt minimum, sans renseignement de la provenance du contenu, pas de source...mais la sonorité est bonne!

"History of Elmore James volume 2", Trip TLX- 9511 non daté, sans renseignement....

Je ne possède pas toutes les rééditions d'Elmore James en albums, ils ont été répertoriés en très grande partie plusieurs fois dans le magazine français "Soul Bag" et dans le lire sur lui, qui reprenait les éléments discographiques...

Le second dans mes rayons provenant du catalogue des frères Bihari doublonne bien sur, mais provenant d'un tirage anglais, "United Artists Records", sous license "Kent".

Douze titres de la première époque, avant sa montée définitive dans le nord, enregistrements compris entre 1952 à 1956, avec des musiciens très populaires du côté de la côte ouest des EU...

Trois photographies sont présentes sur la pochette marron, dont l'auteur est l'amateur belge Georges Adins prises aux USA lors de son voyage.

"The legend of Elmore James", United Artists UAS 29109 des années 70, note de Bruce Bromberg.

Un double album mal fagoté qui n'apporte rien...que des doublons!

Deux disques de dix faces issues de tous les catalogues disponibles...qui se retrouvaient partout, mais l'ensemble soldé à vil prix dans les bacs.

Ce panorama reprend les titres les plus connus de la production d'Elmore James...

Au fait ou en est "notre" historien auto- proclamé dans ses recherches...ou a- t- il disparu dans la nature avec les légendes de Robert Johnson et Elmore James?

"Elmore James, All them Blues", Audiofidelity AFESD 1034 de 1981, note de Sally- Ann Worsfold citant Paul Oliver comme référence.

Une des plus longue série de rééditions est certainement celle consacrée à Elmore James, en regard à la relative petite quantité de faces enregistrées.

En plus il enregistra souvent le même morceaux sous un nom différent quand il passait d'un label à un autre.

Par contre, il était fidèle à ses accompagnateurs comme le saxophoniste ténor J. T. Brown et sa petite rythmique, ainsi qu' à son cousin Homesick James.

Dix titres figurent sur cet album américain issus des productions de Bobby Robinson datant de fin 50, début 60, enregistrés la pluspart du temps à New York.

"The great Elmore James", Up Front UPF- 122 non daté, note de Lenny Goldberg.

Petite rectification, mais tous les amateurs fervents d'Elmore James l' auront noté, le numéro spécial du magazine "Soul Bag" axé sur ce bluesmen date de juin 1983!

Les marques anglaises se penchèrent aussi sur Elmore James, les rééditions se suivirent, dont les deux albums de "Charly".

Les seize faces regroupées sur le premier viennent des productions de Bobby Robinson, donc à la fin de sa carrière discographique, avec la présence de son cousin, Homesick James, mais d'autres guitaristes y participèrent.

Pas d'inédit par rapport à l'époque de l'édition de cet album.

"Elmore James, One way out", Charly CRB 1008 de 1980, note de Dave Kelly.

Le deuxième album de la marque anglaise "Charly" reprend en grande partie le reste du catalogue de Bobby Robinson, mais aussi le titre du label "Trumpet", et quelques faces qui furent rachetées par  le groupe "Vee Jay" à un producteur original.

Le saxophoniste ténor J. T. Brown est présent sur la moitié des morceaux enregistrées à Chicago ainsi que le pianiste Johnny Jones, Sammy Myers joue de l'harmonica sur une pièce effectuée à Jackson en 1961 aux côtés d'Homesick James.

New York et New Orleans furent des villes ou des sessions sont présentées.

"Elmore James, Got to move", Charly CRB 1017 de 1980, note d'Alan Balfour avec renseignements discographiques.

Quand la marque anglaise "Ace" eu les droits d'exploitations pour l'Europe des archives des frères Bihari, Ray Topping due se précipiter sur les disponibilités d'Elmore James.

Après un premier mini album ayant vu le jour, un 30 cm en 1983 avec déjà pour l'époque du matériel inédit ou prise alternatives.

Fut inclus aussi deux faces du pianiste Little Johnny Jones, accompagné bien- sur du guitariste, avec sur quelques titres la présence du saxophoniste ténor J. T. Brown.

"King of the slide guitar, Elmore James", Ace CH 68 de 1983, note de Ray Topping.

Revenons sur la fameuse photographie contenue dans le livret du CD "Relic" 7040 de 1992, qui est reproduite sur deux forums, un américain, un français sur les renseignements d' yza...

Sur ce document est présent Elmore James avec sa guitare "Kay" K 150, le saxophoniste ténor Boyd Atkins, le pianiste Little Johnny Jones, ainsi que le batteur Odie Payne...pris au "708 Club" de Chicago, manque peut- être un autre saxophoniste ténor, J. T. Brown et le contre- bassiste Ransom Knowling...

En regardant et comparant toutes les discographies d'Elmore James sérieuses et complètes, la seule session ou a participé Boyd Atkins avec les accompagnateurs cités date du 1° avril 1953 à Chicago.

On peu donc raisonnement en déduire que cette photographie a été prise aux cours de la première moitié de l'année 1953, l'absence de ce saxophoniste étant constatée sur la séance précédente et postérieure...

La guitare "Kay" K 150 était électrifiée d'origine, sans doute bon marché et populaire, utilisée par plusieurs artistes de Blues de l'époque comme Brownie Mc Ghee, que l'on peu le constatée sur pas mal de photographies de cette époque.

Dans quelques jours, le 28 pour être précis, on fêtera le 100° anniversaire de la naissance d'Elmore James né à Richland en 1918, Mississippi!

N' oublions pas aussi les nombreuses recherches entreprises depuis le début des années 60 par des caractères teigneux fouillant dans de vieux débris et archives pleins de poussières, le numéro spécial du magazine français "Soul Bag" N° 94 de mai/ juin 1983, et l'équipe qui y a contribuée...avec des photographies en couleurs et inédites de Jacques Demètre, ainsi que celles de Georges Adins!

A l'écoute ce matin, le coffret de "Charly" de 1992, comportant quatre CD des faces "Trumpet", "Chess", "Cheif", "Fire", que est le complément idéal du coffret "Ace" de trois CD datant de 1993 contenant les productions des frères Bihari et la..."Trumpet", représentant la TOTALITE des enregistrements d'Elmore James.

Ces deux coffrets ainsi que le numéro de "Soul Bag" contenaient sa discographie complète, comprise aussi dans le livre de Steve Franz de 2003, et une photographie inédite datant du début de 1953 proposée sur le CD "Relic" de 1992!

Combien de photographies d' Elmore James sont connues actuellement, pas tellement, celles d'avant les visites des européens belges et français, et ces dernières depuis 1957.

Celles d'avant 1957, peuvent- elles êtes datées, possible probablement à l'aide des discographies et dates des séances d'enregistrements.

Elmore James était à Chicago à la première session pour la marque "Chess" du 25 et 26 janvier 1952.

Sonny Boy Williamson fit ses derniers enregistrements à Jackson le 12 novembre 1954 pour le label "Trumpet", puis le 12 aout 1955 pour les frères Chess.

La dernière participation d' Elmore James aux enregistrements à Jackson pour le label 'Trumpet" de Sonny Boy Williamson remonte au 4 décembre 1951.

La photographie très répandue ou l'on voie dans une rue à Chicago Elmore James chapeauté tenant un petit étui de guitare à la main droite et Sonny Boy Williamson en compagnie de Little Walter et Earl Palmer, fournie par Big Bill Broonzy, daterait de ...1953, mais les voitures à leurs côtés dont une avec pare- brise style panoramique, date de milieu 1955 vu leurs habillements, ou 1956...

La photographie publicitaire est publiée entièrement dans le livre de Steve Franz, page 134, figurant sur le recto de la pochette de l' album "Chess" référencé 1537 notamment, la "planche en bois" "Kay" dans les mains, a été utilisée par son manager Otis Ealey à Atlanta durant l'année 1955...

La photographie produite sur le CD "Relic" numéro 7040 au club 708 de Chicago, date probablement des environs de la session d'aout 1953 pour les frères Bihari, en compagnie d'une guitare à caisse "Kay" 150...et du saxophoniste ténor Boyd Atkins.

Les autres photographies ou Elmore James est photographié avec la "planche en bois" "Kay", semblable à celle de Jimmy Reed et autres, datent probablement des années 1954 à1956...ainsi que celle dans la rue en compagnie de Sonny Boy Williamson fournie également par Big Bill Broonzy.

Il existe une photographie retrouvée en piètre état, ou il est indiqué qu' Elmore James ébouriffé très jeune, jouant d'une guitare acoustique munie d'un micro est peut- être sa première photographie, mais pose un problème...

Ces observations pour moi semblent logiques, mais sans aucune certitude!  

Plusieurs vieux amateurs de Blues ont constaté ce matin chez un disquaire du "Boul' mich" à Paris, qu'ils existaient deux versions en format du coffret d'Elmore James produits par la marque anglaise "Ace".

La première version en coffret cartonné de 30 cm x 6 cm datant de 1993, n' est plus disponible depuis longtemps, mais se trouve encore à un prix élevé sur internet.

Le second en format classic du CD de 14 cm x 12 cm date de 2007, avec le recto du livret contenant une photographie en couleur légèrement différente, (les deux prises en 1959 par Jacques Demêtre à Chicago), est disponible actuellement sur le site de l'éditeur à environ 15€.

Le contenu musical est identique...les productions des frères Bihari  et du label "Trumpet" de 1951 à 1956, sous la même référence...